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  • : Les Écritures de Karola
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  • L`ÉCRITURE DE KAROLA
  • Une femme tres sociable et simple qui aime la vie.
 
 J'ai besoin d'écrire pour ressortir tout ce qui habite en moi.
 
 La joie, la tristesse, mes peurs, et mes rêves.
 
 
 C'est moi Karola.................signé Carole
  • Une femme tres sociable et simple qui aime la vie. J'ai besoin d'écrire pour ressortir tout ce qui habite en moi. La joie, la tristesse, mes peurs, et mes rêves. C'est moi Karola.................signé Carole

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 17:44

Les paroles..

~~Il était une fois des gens heureux

C'était en des temps plus silencieux

Parlez a ceux qui s'en souviennent

Ils savent encore Les mots des romances anciennes

Ou ça disait toujours "le monde est beau"

Il était une fois des gens heureux

Qui disaient toutes choses avec les yeux

Leurs yeux doublaient de confiance

En l'univers immense Qu'ils disaient béni de Dieu

Il était une fois des gens de paix

Mais vers les années de temps mauvais

A table il y eut des chaises vides

Aux yeux vinrent les rides

Il ne restera plus rien de vrai

Il ne faut pas chercher a savoir

Ou s'en va le temps

Il s'en va pareil aux glaces dans le Saint-Laurent

On fait toute la vie Semblant qu'on va durer toujours

Pareils au fleuve dans son cours

Et c'est peut-être rien que pour ça

Qu'on fait des enfants

Il était une fois des gens heureux

Et tout était si simple et merveilleux

Y avait le ciel, y avait la terre

C'était quand les mystères

Pouvaient rester mystérieux

Il était une fois des gens heureux

Qui disaient toutes choses avec les yeux

Leurs yeux doublaient de confiance

En univers immense Et clair.

Et juste et merveilleux

Un univers béni de Dieu

Il était une fois des gens heureux

C'était en des temps plus silencieux

Parlez a ceux qui s'en souviennent

Ils savent encore les mots

Des romances anciennes

Ou ça disait toujours

Le monde est beau

Le monde est beau Le monde est beau...

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 18:28
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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 00:55
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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 00:45

~~Un jour apparut un petit trou dans un cocon; un homme qui passait à tout hasard, s'arrêta de longues heures à observer le papillon qui s'efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre. Alors, l'homme décida d'aider le papillon, il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdit; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L'homme continua à observer pensant que d'un moment à l'autre les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il prenne son envol. Il n'en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler. Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit de cocon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel l'être suprême le faisait passer pour grandir et se développer. Parfois l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si L'être suprême nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler...

Le papillon
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24 novembre 2014 1 24 /11 /novembre /2014 15:57

~~Elle est née de l'œil gauche de son père, Izanagi, quand il s'est purifié par ablution après son retour du pays des morts. Izanagi lui ordonna de diriger le Takamanohara, royaume des cieux. Selon la légende, Amaterasu et son frère Susanoo, kami de la mer et du vent, étaient rivaux. Aussi, lorsqu'il lui rendit visite, il y eut un long combat, à la suite duquel il enferma Amaterasu dans une caverne, cachant par la même occasion le soleil pendant une longue période. Selon une autre version, en colère, elle s'enferma elle-même. Pour persuader Amaterasu de sortir de cette grotte, les dieux organisèrent un banquet au cours duquel Uzume, la déesse de l'Aube, entama une danse. Intriguée par l'animation, Amaterasu reparut. En guise de punition, Amaterasu bannit Susanoo du royaume des cieux. Pour se racheter auprès de sa sœur, Susanoo lui offrit par la suite l'épée Kusanagi no tsurugi.

La femme du soleil
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24 novembre 2014 1 24 /11 /novembre /2014 01:50

~~Cette histoire se passe au moment où il est banni du ciel. Déguisé en cavalier, il rencontra dans une ferme un couple de vieillards et leur fille Kushinada. Kushinada était la dernière de ces huit sœurs, les autres ayant été dévorées par un dragon à huit têtes, appelé Yamata-no-orochi. Et le lendemain à minuit, le dragon devait revenir chercher Kushinada. Susanoo, sans se dévoiler, décida de combattre le dragon. Avec l'aide des villageois, il construisit une gigantesque palissade percée de huit portes autour de la ferme. Puis il mit huit tonneaux devant les portes. Les villageois s'enfuyaient au fur et à mesure qu'ils entendaient les rugissement du dragon qui se rapprochait : il ne resta plus que Susanoo. Susanoo était seul debout dans la cour, une hache à la main et son épée (appelé l'Épée Totsuka). De sa hache, il perça les tonneaux de saké ; puis il se cacha dans une charrette. Le monstre arriva. Méfiant, il se dit qu'une seule des huit têtes irait en éclaireur pendant que les autres monteraient la garde. Voyant que rien de dangereux ne se passait, les sept têtes, burent tout le saké. Susanoo trancha la huitième tête. Fou de douleur, le monstre se releva, hurlant et brisant une partie de la barrière. Susanoo transforma alors Kushinada en peigne et la cacha dans ses cheveux. Les sept têtes se dressèrent menaçantes au-dessus de Susanoo. Mais le dragon sous l’emprise de l’alcool titubait et lacérait le vide. Et Susanoo était plus rapide. Une à une les têtes tombèrent. Et bientôt le dragon était mort. Dans la queue du dragon, Susanoo découvrit l’épée magique Ame-Murakumo-Tsurugi L'Épée-Nuage sourcilleuse du ciel, plus tard connu en tant que Kusanagi no tsurugi. L'épée fut présentée à Amaterasu comme cadeau de réconciliation. Amaterasu l'offrit ensuite à son petit-fils Ninigi avec le yata-kagami (un miroir) et le magatama bijoux sacrés comme preuve de son droit divin de régner. Susanoo épousa finalement Kushinada. Ils fondèrent la dynastie d'Izumo et eurent de nombreux enfants.

Histoire de dragon
Histoire de dragon
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29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 19:44

~~Il était une fois, dans une contrée éloignée de tous, vivaient des gens dans un petit château. Le coin était paisible mais il y avait quelques combats entre les humains, les dragons, les loups et les vers de terre. Un jour, c’était les dragons contre les humains. Puis les loups contre les vers de terre. Enfin personne n’était ami. A chaque combat, il y avait énormément de blessés. Mais, un jour un simple soldat couru affoler vers son roi. Ce dernier, proposa à son seigneur de devenir allié avec un des ennemis. Le roi sans peur, cruel et plein de fierté l’envoya balader méchamment. Puis, sa majesté se demanda s’il ne fallait pas attraper tous les dragons pour faire un vilain coup. Il couru comme un dératé à l’infirmerie du château demander du calmant. L’infirmière un peu méfiante sa posa des questions mais obéit. Une fois le pauvre fou en possession du calmant il courut encore comme un fou vers son armée fatiguée et leur donna le médicament. Les soldats un peu inquiet se demanda ce qu’il voulait en faire; le roi leurs expliqua qu’ils devront les endormir puis ramener les dragons pendant qu’ils sont assoupis. Les soldats encore plus inquiets lui demandèrent s’il était fou et, pourquoi faire ça! Leur maître ne voulu pas les inquiéter donc, il leur dit d’attendre la fin du plan. Le soir venu, l’armée se prépara pour aller voir les dragons. Ils marchèrent dans la nuit sombre. Sans lumière mais juste la pleine lune pour les éclairer ils avancèrent. Grelottant de froid et de peur. Une foi arrivée, ils virent des centaines de dragons. Là. Endormi. Ils commencèrent donc à leurs déposer les calmants puis à les ramener. Une fois au château ils les attachèrent solidement. Ils n’avaient que 2 jours avant qu’ils reprennent connaissance. Ils écoutaient parfaitement aux ordres des humains sous l’emprise du médicament. Les soldats fiers d’eux, demandèrent s’il fallait les tuer. Le seigneur cria; qu’ils n’avaient pas intérêt qu’ils devaient faire pareil aux loups. Le lendemain soir, pareil que pour les dragons, les soldats ramenèrent tous les loups. Ils redemandèrent si maintenant ils pouvaient les tuer. Le roi leur répéta encore une fois qu'il n'avait pas intérêt à le faire. Il leur ordonna de monter sur les dragons ainsi que les loups avec eux. Certains avaient compris que la bataille finale arriva. Le roi leur suggéra; qu’ils devaient attaquer les vers de terre. Tous foncèrent sur eux. Et, quand un vers sortait, ils lancèrent les loups dessus. Les pauvres vers pris de panique tentèrent une riposte. Mais en vint. La lutte était terrible. Les hommes chevauchaient les dragons en lançant les loups sur les vers de terre. A la fin du combat, ce n’était qu’un tas de loups et de vers écrasé. Les dragons survivant étaient achevés. Les hommes leurs lancèrent les cadavres des loups et des vers de terre jusqu’à se qu’ils meurent tous. Les hommes, seul maître du village.

Histoire de loup
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29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 19:27
Cet arlequin est parti bien vite hargneux.
Vers son destin d'acrobate pendu à un fil.
Cherchant les chemins, évitant les soucis.
Il regarde plus souvent le ciel que la terre.
Ils ont beaux levés les bras au dessus de leur tête.
A passé le jour sans rien faire souvent s'embêter.
Rien ne peut dérouter cet éternel heureux.
Qui apporte du bien être de l'amour à l'infinie.
Il tranche par ses couleurs vives et éclatantes.
Il est pas fait de chair, malgré cela il est bienfaisant.
Arlequin entend pas, il est dans son univers.
Envieux de cette liberté d'être vers les étoiles.
Par son air accablé, il paraît bienheureux.
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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 17:43

Les cheminées fumantes enveloppaient Québec d'une brume artificielle, et firent tousser l’amoureux. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

   Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une adorable voix chanta:
   - Qui est là?
   - C'est amoureux! Répondit celui-ci.
   - Je ne connais aucun amoureux! Dit la voix.
   Il y eut un silence.
   - C'est toi, amoureuse? Fit amoureux.   La porte s'ouvrit soudain:
   - Mais oui c'est moi, mon amoureux!   Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
   - Entre, dit-elle.
Amoureux pénétra dans la salle à manger avant de s'asseoir dans un fauteuil. Puis il fixa amoureuse. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
   - Amoureuse...
   Elle détourna la tête.
   - Amoureuse, répéta-t-il.
   Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
   - Euh... bredouilla amoureux.
   Mais les mots ne venaient pas... alors amoureuse passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
   Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
   - Je t'aime, dit amoureux   - Je t'aime aussi, dit amoureuse
   Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.  
   - la foudre m'a frappé... et je voulais que tu saches que tu es mon amour.  
   - Oh.!.. c'est bien vrai?
   - Oui, c'est vrai.    - Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi charmant à l'intérieur qu'à l'extérieur.
 

 Amoureux rougit. Il se sentait bien. Au loin, un vagabond criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
   - Embrassons-nous encore... souffla amoureux
   Ils s'embrassèrent donc.  Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Québec était loin. Ils virent passer un érable, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan.  Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Amoureuse, que la folie saisissait, se voyait aimer au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immense et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain. Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
   - Ne me quitte jamais, disait Amoureux
   - Je ne te quitterai jamais. Je t'aime, répondait Amoureuse.  Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

   Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.

 

 

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 17:28

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La Lune ouvrit un œil, et bailla longuement. Le tintement des clochettes des étoiles l’avait tirée de son doux sommeil. Elle s’étira avec délectation dans ses draps de Soie Lactée, profitant de ces instants de repos. Puis elle se leva tranquillement, ouvrit son armoire et contempla sa garde robe. Il y avait 3 vêtements : un blanc, réservé aux jours de pleine Lune, et deux noirs, l’un pour sa phase montante, l’autre pour sa phase descendante. Chaque jour, elle agrémentait sa robe d’une pincée de poussière d’espace, et elle devenait plus lumineuse, ou plus sombre, suivant la saison… Mais elle n’avait jamais disparu du ciel… Elle enfila sa robe de croissance, prit son bâton de bergère, et sortit. Les étoiles se dispersaient déjà dans le ciel, et commençaient à brouter les bras, dont elles étaient friandes. Mais déjà une s’aventurait un peu trop loin. La Lune siffla doucement, et l’étoile revint aussitôt, obéissante…Elle tourna son regard vers la Terre. Boule de lumière, qu’elle éclairait d’une lueur blafarde… Elle aurait tant aimé la visiter… Mais son troupeau d’étoiles l’accaparait entièrement. Si l’une d’elle s’approchait trop près de la Terre, le sifflement doux et les bras blanc de la Lune la ramenaient bien vite… Mais la Lune avait trop envie de venir sur la Terre… Mais on remarquerait vite son absence… La nuit passa très vite, et l’aurore rouge poussa les étoiles à se cacher, et la Lune à rentrer chez elle. Comme elle en avait envie, de visiter cet endroit !! Tous les soirs, elle le regardait. Tous les soirs, il lui révélait un nouveau visage… Enfin, elle se décida. Elle allait visiter ce monde qui lui faisait tant envie… Elle passa toute la journée, enfermée chez elle, à coudre avec ses doigts de fée, décorant une pièce de tissu gigantesque. Elle voulait être la plus jolie pour aller là bas.... Le soir venu, la Lune ouvrit sa porte, et apparut dans toute la splendeur d’une robe d’un noir de jais. Elle jeta sur le troupeau d’étoiles ce qui lui restait de poussières d’espace, pour mieux les voir, et se rendit sur Terre.

C’était plus beau que tout ce qu’elle avait pu imaginer. Les rues illuminées, les villes animées…les campagnes vides, mais si agréables… Elle contemplait le monde. Mais personne ne faisait attention à elle. Tout le monde regardait le ciel, se demandant où elle était passée. Elle sourit, et dit : « La Lune contemple le monde, et le Monde est dans la lune. »
Depuis ce jour, la nuit revêt une fois par mois sa robe noire, et descend sur terre. Si vous croisez une femme au teint pâle, habillée d'une longe robe couleur de la nuit, ne l'abordez pas... Laissez la contempler les tableaux du monde...

 

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